Voilà, j'ouvre sur une nouvelle question.
On constate que si l'homme en lui même n'a pas vraiment changé depuis ces quatre derniers millénaires, les sociétés qu'il a développé ont elles été nombreuses et changeantes. Les individus les composant ont ainsi vu leurs prétextes, éducation, aspirations et maximes changer alors que nous voyons apparaitre le soldat-citoyens, le soldat-paysans ou encore le mercenaire féodal et ainsi de suite.
Le débat est le suivant : Comment imaginer l'aspect psychologique des différents guerriers qui composent les époques de notre humanité ?
Le chevalier du Moyen-Âge était t-il la machine à tuer sans peur que l'on nous raconte fréquemment ? Comment le fusilier de ligne du 17 et 18eme siècle était-il capable de supporter l'idée d'être une simple pièce de viande à canon et à balles en uniforme alors que seule la chance pouvait déterminer sa survie tant qu'il n'y avait de corps à corps ? Ou encore, comment le guerrier de toute les époques pouvait-il seulement accepter d'être en première ligne ?
On constate que si l'homme en lui même n'a pas vraiment changé depuis ces quatre derniers millénaires, les sociétés qu'il a développé ont elles été nombreuses et changeantes. Les individus les composant ont ainsi vu leurs prétextes, éducation, aspirations et maximes changer alors que nous voyons apparaitre le soldat-citoyens, le soldat-paysans ou encore le mercenaire féodal et ainsi de suite.
Le débat est le suivant : Comment imaginer l'aspect psychologique des différents guerriers qui composent les époques de notre humanité ?
Le chevalier du Moyen-Âge était t-il la machine à tuer sans peur que l'on nous raconte fréquemment ? Comment le fusilier de ligne du 17 et 18eme siècle était-il capable de supporter l'idée d'être une simple pièce de viande à canon et à balles en uniforme alors que seule la chance pouvait déterminer sa survie tant qu'il n'y avait de corps à corps ? Ou encore, comment le guerrier de toute les époques pouvait-il seulement accepter d'être en première ligne ?
Commentaire